
Et si finalement le plus gros souci du SCAF s’appelait Dassault Aviation ?
L’avionneur clodoaldien sait faire de très bons avions, depuis le Mystère IV et jusqu’à l’actuel Rafale cela se vérifie. La question qui se pose désormais est de savoir si Dassault Aviation est en capacité de le faire en partenariat avec d’autres, en l’occurrence le groupe Airbus. Aux vues des récentes déclarations de son PDG devant le Sénat on est largement en droit de se poser la question. On en finirait presque par penser que l’avionneur français veut planter ce programme, au risque ainsi de jouer le jeu de la Chine et des États-Unis. Alors que les Britanniques, les Italiens, et les Japonais ont déjà structuré la coentreprise Edgewing qui assurera la construction et la commercialisation du GCAP les Allemands, les Français, et les Espagnols en
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