Au cours de la Seconde Guerre mondiale, l’US Army Air Force utilisa aux côtés de ses bombardiers moyens, des appareils plus légers, souvent monomoteurs, pour des missions d’appui tactique rapproché et de bombardement en piqué. Basant sa doctrine d’emploi en grande partie sur les enseignements tirés de l’utilisation des Junkers
En 1934, l’US Navy fit savoir qu’elle recherchait un nouveau bombardier de reconnaissance pour servir sur ses porte-avions. Le cahier des charges ordonnait que le nouvel avion soit monoplan et dispose d’une capacité de bombardement en piqué. Cette machine était, à la différence du principal avion de ce type alors en
Prévoyant dès 1936 que les biplans ne seraint plus opérationnels à partir des portes avions, l’US Navy demanda aux constructeurs de l’époque un appareil embarqué destiné à remplacer le biplan Grumman F3F. Il devait avoir une configuration de monoplan, avec des volets hypersustentateurs, une vitesse d’intercepteur, un train d’atterrissage escamotable
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Pour bien des passionnés d’aviation autant que pour nombre d’historiens le jet fut la grande révolution technologique de la Seconde Guerre mondiale. C’est vrai et
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