
Et si finalement le plus gros souci du SCAF s’appelait Dassault Aviation ?
L’avionneur clodoaldien sait faire de très bons avions, depuis le Mystère IV et jusqu’à l’actuel Rafale cela se vérifie. La question qui se pose désormais est de savoir si Dassault Aviation est en capacité de le faire en partenariat avec d’autres, en l’occurrence le groupe Airbus. Aux vues des récentes